Solo,un malagasy investisseur TIC à Madagascar qui se retrouve à la prison d’Antanimora car il a découvert une intrusion informatique

Et par le pur hasard , c’est son ancien directeur exécutif, RANARISON Tsilavo gérant fondateur de NEXTHOPE qui est aux commandes de l’entreprise destructrice visant à éliminer Solo et la société CONNECTIC avec l’aide de la cour d’appel d’Antananarivo. Les  biens immobiliers de Solo sont prévus être vendus aux enchères le mercredi 15 février 2017 pour la cinquième fois malgré un pourvoi dans l’intérêt de la loi (PIL) censé arrêté toute la procédure requis par le Procureur général près de la cour suprême sur demande du Ministre de la justice. Mais au pays de la magie, on ne sait jamais ce qui va arriver.

Ce blog servira de bases de travail à vous  journalistes, juristes, citoyens du monde entier qui vont relater, analyser et diffuser ce dossier atypique, mais somme toute banale à Madagascar.

Malheureusement pour lui, il a découvert en 2012 au sein de son entreprise, CONNECTIC,  qu’un système d’intrusion et d’écoute téléphonique a été mise en place pour espionner à distance tous les agissements dans sa  propre société .Solo a participé à l’essor du TIC à Madagascar: du premier cybercafé en 1998 à la mise en place des infrastructures d’interconnection de la banque centrale de Madagascar. Le doyen des juges a rédigé une ordonnance de renvoi en juin 2014 de deux responsables de la société DATALINK, entreprise propriétaire de l’adresse IP qui a servi à l’intrusion et à l’écoute téléphonique.  Ainsi, pour plus d’efficacité et de transparence, simplement en tapant www.malagasy.net, on a accès de la totalité du dossier. A l’heure de la technologie 2.0, d’autres moyens de communication seront mis en place au fur et à mesure.

Les pièces diffusées sont celles qui ont été plaidées lors du procès qui a eu lieu à Antananarivo le 8 décembre 2015. Elles sont donc publiques et diffusables. Mais pour éviter un éventuel poursuite en diffamation, on attend le retour formel des juristes sur ce point.

L’accusé qui a passé près de 140 jours de mandat de dépôt entre le tristement célèbre prison d’Antanimora (Antananarivo, Madagascar) et un centre de neuro- psychiatrie ponctués par des descentes et des harcèlements judiciaires  est dans un état de santé au plus bas (pour ne pas dire plus).

Il a besoin de votre aide, de votre réseau de connaissance, de votre appui financier pour mener ce marathon contre cette main invisible. Ce marathon c’est son combat, notre combat; C’est également sa thérapie. Il ne sera guéri qu’avec notre aide.

Les amis de malagasy.net ont vu tant d’innocents incarcérés ou perdre des procès à Madagascar car ils n’ont  d’éloquence et d’entregent face à leurs adversaires, aux enquêteurs ou aux juges dépassés par la vulgarisation de ce qu’on appelle communément les TIC (Technologie de l’information et de la communication) et la sophistication des acrobaties juridique et procédurale.

Vulgariser les mots clés de la technologie et des arcanes juridiques pour avoir une justice juste est notre leitmotiv. Pour que demain, ces juges et/ou ces enquêteurs ont un outil de jugement à portée d’un clic.

La plainte est basée sur de l’abus des biens sociaux, article 931 de la loi 2003-036, RANARISON Tsilavo accuse Solo d’effectuerr des virements internationaux de la société CONNECTIC à la société EMERGENT détenue par Solo en France. Pour éviter que Solo puisse se défendre, la plainte a été gérée directement par le Procureur Général de la Cour d’Appel d’Antananarivo qui a transmis la plainte à la Police économique : c’est de la compétence exclusive du Procureur de la République.
Une action civile d’un associé est irrecevable normalement mais RANARISON Tsilavo a même obtenu personnellement 1 milliard 500 millions d’Ariary. Ce qui n’est pas prévu dans lois qui régissent les sociétés commerciales : on doit verser les dommages et intérêts dans la caisse de la société.